Dans ce spectacle, le fil rouge qui se tisse est le rapport que Brassens entretient à l’histoire dans ses chansons. Quelle est sa ligne du temps ? Sa vision de la modernité ? Pourquoi crée-t-il un moyen-âge païen réinventé ? Par ailleurs, une forte insistance est également mise sur la musicalité extrêmement subtile de ses chansons, quitte à parfois les interpréter en extraits instrumentaux. Certains titres connus (la Jeanne, le Vieux Léon, la mauvaise herbe, le coup d’oreille (Retouche à un roman d’amour de quatre sous, Boulevard du temps qui passe, la rose, La bouteille et la poignée de mains) dont des inédits mis en musique par Olivier Terwagne (La fille du passeur…). Les arrangements emmènent Brassens dans un autre univers sonore qui à chaque fois racontent une histoire en « contrepoint » : piano, accordéon, guitare, jouets d’enfants, cor, trompette, saxophone soprano, violon, bouzouki…Olivier Terwagne scande par ailleurs le spectacle de quelques éclairages philosophiques…
Avec Olivier Terwagne (chant,claviers, guitare, accordéon, séquenceurs)
Stéphanie Gilly (cor, trompette, flûte, saxophone)
Françoise Derissen (violon)
Fred Petit Jean (basse, bouzouki, mandoline,guitare)
François Degrande (guitare « argentine »)
Adrien Fortemps (percussions)
Toutes les formules sont possibles (solo, duo, trio, quatuor, quintet ou sextet)
